38 research outputs found

    L'informatisation des Catalogues RĂ©gionaux des Incunables

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    Accessible en ligne: http://www.abes.fr/Arabesques/Arabesques-n-6

    "Patrimoines et humanités numériques : l'exemple du Master " Patrimoine écrit et édition numérique " et du programme de recherche " BibliothÚques Virtuelles Humanistes " (CESR, Tours)"

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    International audiencePrésentation, dans le cadre du colloque "Patrimoines et humanités numériques: quelles formations?" (Paris, 20-22 juin 2012), du Master 2 à visée professionnalisante "Patrimoine écrit et édition numérique", qui se trouve adossé à un programme de recherche en humanités numériques, les "BibliothÚques Virtuelles Humanistes"

    "Et au plus eslevé throne du monde, si ne sommes assis, que sus notre cul": quelques vérités humanistes sur le pouvoir

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    National audienceLa journée d'études dans le cadre de laquelle cette communication s'est faite était pensée en lien avec les événements de 2009 en France et la résistance à la loi LRU. Il s'est agi, à partir d'un motif a priori incongru (le cul), d'examiner la façon dont les humanistes ont pensé leur rapport avec le pouvoir politique, en insistant en particulier sur une perspective satirique

    Des Cannibales, suivis de La Peur de l'autre (anthologie)

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    National audienc

    Des Barbares aux CicĂ©roniens ou comment accommoder l'art de la dispute selon Érasme

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    Erasme et le(s) latin(s)

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    International audienceWas Erasmus wrong to write only in Latin? Christine BĂ©nĂ©vent shows that Erasmus was particularly aware of the need of adapting to the public, whether through the use of Latin as an eventual universal language, or through translation into the vernacular. This position explains Erasmus's opposition of Latin and vernacular languages, and explains why he used two “Latins”: one, simple, easily translatable, and intended for a wider circulation; the other, more complex and meant for initiates. This solution, however, met with two pitfalls: Erasmus had no control over translations of his works, while his adversaries polemicized in the vernacular, increasing their effectiveness. Even though this shows that they were able to adapt to their public, Erasmus could count on his main public's mastery of both Latin and a vernacular language. Indeed, Erasmus used the literary history, rhetoric, grammar and precision of Latin to seize that which, in the world and himself, may otherwise have eluded him.Erasme a-t-il eu tort de n'Ă©crire qu'en latin ? Pour apporter de nouveaux Ă©lĂ©ments de rĂ©ponse Ă  cette question amplement dĂ©battue, j'entends montrer tout d'abord qu'Erasme a placĂ© au centre de sa rĂ©flexion la question de l'adaptation au public, ce qui justifierait un retour au latin si celui-ci s'imposait comme langue universelle, ou une traduction dans les diverses langues vernaculaires si ce n'Ă©tait pas le cas. L'instabilitĂ© qu'implique cette position explique pourquoi l'opposition Ă©tablie entre latin et langues vernaculaires est, chez lui, tantĂŽt statique (le latin, langue des savants, contre les langues vernaculaires pratiquĂ©es par le peuple), tantĂŽt dynamique (l'apprentissage du latin peut ĂȘtre accessible Ă  tous). Elle explique aussi, selon moi, pourquoi Erasme a en fait pratiquĂ© au moins deux « latin(s) » : le premier, simple et accessible, facile Ă  traduire, sera utilisĂ© dans les oeuvres de vulgarisation, destinĂ©es Ă  circuler ; l'autre, complexe et exigeant, restera rĂ©servĂ© aux initiĂ©s. Cette solution fondĂ©e sur un clivage se heurte nĂ©anmoins Ă  deux Ă©cueils : d'une part Erasme n'a pas la maĂźtrise des traductions qui sont faites de ses oeuvres, d'autre part ses adversaires ne se plient pas aux rĂšgles de son jeu, et mĂšnent des polĂ©miques normalement rĂ©servĂ©es aux initiĂ©s en langue vulgaire, ce qui accentue terriblement leur efficacitĂ©. Si c'est la preuve qu'ils ont su, de fait, s'adapter Ă  leur public, le choix d'Erasme se justifie lui aussi dans la mesure oĂč il pouvait compter sur son public premier, qui maĂźtrisait Ă  la fois le latin et une langue vernaculaire, pour se faire le relais de ses Ă©crits. Quant au latin, pourvu, Ă  la diffĂ©rence des vernaculaires, d'une histoire littĂ©raire ancienne, d'une rhĂ©torique, d'une grammaire, d'un vocabulaire prĂ©cis, c'est bien Ă  travers lui qu'Érasme pouvait espĂ©rer ressaisir tout ce qui, dans le monde et en lui-mĂȘme, risquait de lui Ă©chapper

    "L'imprimé à la Renaissance : repenser la culture de l'écrit ?"

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    Les travaux de P. Zumthor ayant rappelĂ© que la voix Ă©tait, au Moyen Âge, « un facteur constitutif de toute Ɠuvre dĂ©nommĂ©e ‘littĂ©raire’ », il s’agissait d’examiner dans quelle mesure l’imprimerie engendre une nouvelle situation historique en offrant un autre « mode possible de rĂ©alisation de ces textes ». À travers le cas d’Érasme, dont l’Ɠuvre est caractĂ©risĂ©e par un « logocentrisme impĂ©rieux », on a tentĂ© de mesurer dans quelle mesure la prĂ©fĂ©rence Ă©tait accordĂ©e Ă  l’oral ou Ă  l’écrit, ou plutĂŽt Ă  la voix ou Ă  l’écriture. L’une des conclusions de cette enquĂȘte porte sur la mise en Ɠuvre d’une « rhĂ©torique de la prĂ©sence » qui servirait Ă  exorciser « l’étrangement » provoquĂ© par l’imprimerie. L’analyse de l’adage « Festina lente » montre que, enracinĂ©e dans une Ă©thique exigeante, l’écriture imprimĂ©e semble tout d’abord, contrairement aux pratiques mĂ©diĂ©vales dĂ©criĂ©es, porteuse d’intĂ©gritĂ© et d’universalitĂ©. Mais les ajouts postĂ©rieurs rĂ©vĂšlent une angoisse grandissante face Ă  la prolifĂ©ration des livres et aux interprĂ©tations multiples qu’ils suscitent, angoisse qu’Erasme et d’autres auteurs conjurent en construisant des narrations oĂč peut s’éprouver, comme chez Marguerite de Navarre, la « possibilitĂ© d’un consensus », ou encore en en rĂ©fĂ©rant Ă  Dieu pour rĂ©articuler Parole et Écriture

    Supplementa Alleniana : un bilan des lettres retrouvées depuis l'édition Allen

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    International audienc

    Images et texte dans l'Eloge de la folie d'Érasme illustrĂ© par Holbein : la "tragique folie du monde" contre "la conscience critique de l'homme" ?

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